L'interview de la semaine avec Lulu
M. Favre Qu'avez-vous déjà vu en dehors du stade olympique et du terrain d'entrainement à Berlin ?
Lucien Favre: Ca va vous étonné : Avec ma femme Chantal, nous somme venus une semaine avant le début des entrainements et nous avons fait du vélo dans les rues de Berlin. Nous avons aussi fait des tours avec le S-Bahn pour profiter au mieux de la ville. Elle est vraiment verte. Nous avons vu le zoo et son petit Knut et tous les autres endroits touristique connus à Berlin.
Il existe un cliché qui nous fait penser que les professionnels du foot ne pensent qu'à ça. Vous vous avez bien avant votre transfert démontré que la ville vous intéressait. Pourquoi ce petit faible pour cette ville ?
Parfois il est important de passer du temps à faire autre chose que le foot. Et pour ça la ville de Berlin est parfaite.
Pendant votre carrière à Genève vous avez joué avec Karl-Heinz Rummenigge. Est-ce qu'il vous a donné envie pour le football allemand ?
Nous parlions souvent foot et en particulier de la Bundesliga. Mais ce qui était magnifique avec lui c'est que nous pouvions parlé de tous les sujets.
La période des transferts s'est terminée il y a peu. Quelles sont les points forts et les points faibles de votre effectif ?
Je suis vraiment content de l'effectif mis à ma disposition. Mais en janvier comme un nouveau mercato commence, je compte bien, comme à Zürich engagé 1 ou 2 joueurs supplémentaire.
Comment travaillez-vous avec le Manager Dieter Hoeneß?
La collaboration est très bonne. Mais pour moi il est très important que tous le staff technique me donne son avis, parce que comme entraineur, si tu es seul, tu fais beaucoup d'erreurs.
Le football en Allemagne ça signifie: Plus de média, plus d'attention et plus de pression. Comment gérez-vous ceci ?
Croyez-moi j'avais aussi beaucoup de pression à Zürich! Comme entraineur vous devez toujours donner le meilleur de vous-même. Et si les stades sont pleins et s'il y a beaucoup de journalistes le football reste le même.
Luca Toni et Franck Ribery, Andre Lima et Lucien Favre: Est-ce que tous ces étrangers sont une bonne chose pour la Bundesliga?
Très importante. Un joueur comme Ribery est une attraction. Mais nous sommes aussi en tant que Suisse heureux que la Bundesliga nous ouvre ses portes et qu'elle nous permette de nous développer.
Pour terminer, la Suisse reste sur des bons résultat avec son équipe national. Etes-vous déjà au sommet de la hiérarchie de l'Europe?
Pour un petit pays de sept million d'habitant cela sera toujours difficile. Mais nous avons environ 90 joueurs qui évoluent à l'étranger, dont certains sont dans les meilleurs clubs. A partir de là, si tous nos meilleurs joueurs sont en forme nous pouvons mettre en danger les meilleurs nations du monde.
Interview complet en allemand sur le site http://www.berlinermorgenpost.de/
posted by Sherlock Holmes.net @ vendredi, septembre 07, 2007
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